Cérémonie du 11 Novembre 2024 – UD 91

En présence de Mr MARLIN, Député Honoraire, une cérémonie en quatre actes a été célébrée sur quatre sites de la commune. Après l’accueil des participants à l’entrée du cimetière Notre Dame par Mr le Maire et ses Adjoints, un premier hommage au Carré Militaire est célébré en mémoire des soldats morts pour défendre la ville d’Etampes lors de la guerre 1914/1918.

Puis nous nous rendons Cour de la Mairie où nous accueillons les personnalités et après avoir monté les couleurs et respecté une minute de silence, nous partons en cortège au rythme de la Batterie Fanfare et de l’Harmonie Etampoise jusqu’au Collège Guettard où le cortège est accueilli par Monsieur le Directeur du collège, des professeurs et des parents d’élèves. Puis un groupe d’élèves sortant d’un bâtiment se met en place et sous la Direction d’un professeur interprète, à capella, la Chanson de Craonne dans le silence total des personnes présentes.

Deux gerbes sont déposées au pied de la stèle érigée dans la cour du collège à la mémoire des professeurs et des élèves morts dans le collège lors de la guerre. Enfin, toujours en cortège et en musique, au pas cadencé, nous nous rendons au monument aux morts où des porte-drapeaux qui ont participé à d’autres cérémonies dans les communes voisines nous attendent et se joignent à nous.

De nouvelles gerbes sont déposées par les différentes autorités présentes dont un représentant du Conseil Départemental qui nous a rejoints également. Après la traditionnelle montée des couleurs, des textes sont lus par le Président des Associations Militaires d’Etampes, puis par le Sous-Préfet. Après une minute de silence, la Marseillaise est chantée par l’ensemble des participants, les personnalités remercient les porte-drapeaux et la cérémonie se termine devant le monument fleuri.

Nous nous retrouverons le 7 Décembre pour célébrer le centenaire du monument aux morts, conviés par Monsieur MARLIN pour donner de l’ampleur et de la valeur à ce monument devant lequel de nombreuses cérémonies de la ville se terminent.

Bernard MOULON