UD 65 – Hautes-Pyrénées

                            Les Hautes-Pyrénées se caractérisent par une  remarquable diversité de paysages et une grande richesse de ses espaces naturels.
On distingue trois régions naturelles, empreintes chacune d’une identité forte :
la plaine de l’Adour et les villes de Tarbes, Vic-en-Bigorre, Maubourguet et Rabastens ;
la montagne sur 66 % du territoire ;
les côteaux sur 17 % du territoire

 

Le Parc national des Pyrénées a été créé par le décret du 23 mars 1967 modifié par le décret du 15 avril 2009. D’une longueur de 100 kilomètres, il couvre 2 départements (Pyrénées-Atlantiques et Hautes-Pyrénées) et 2 régions (Aquitaine et Midi-Pyrénées). Il s’étend du Gave d’Aspe à la Neste d’Aure, le long de la crête frontalière à l’Espagne. Sa largeur est comprise entre 800 mètres à 10 kilomètres. Seul parc national dans le massif pyrénéen, il s’étend sur 45 707 hectares de territoire d’altitude ne descendant jamais au-dessous de 1000 mètres et culminant à 3 298 mètres à la Pique Longue du Vignemale.

Les Hautes-Pyrénées comprennent quatre sites touristiques majeurs : Lourdes, le Pic du Midi, Gavarnie et Cauterets-Pont d’Espagne.

Lourdes    Centre mondial de pèlerinage , la cité mariale et les sanctuaires (grotte de Massabielle, basilique du Rosaire)                 accueillent chaque année plus de 6 millions de visiteurs.
Deuxième ville hôtelière de France, l’infrastructure hôtelière est exceptionnelle pour cette cité de presque 16 000 habitants qui compte environ 200 établissements, offrant un tiers de la capacité régionale en chambres d’hôtel (plus de 13 000 chambres).

 

L’UNPRG/65,

forte d’une centaine de membres (adhérents et sympathisants) fait partie de cet ensemble.

Ses statuts sont déposés à la sous-préfecture d’Argelès-Gazost depuis le 22 mai 2007.

Son siège social est situé 6, Impasse Despailles à IBOS  (en attendant le transfert vers la préfecture de Tarbes suite à la nomination d’un nouveau président)

Son but :  Permettre le regroupement, en vue de l’entraide, des membres de la grande famille que  constituent ceux qui ont servi dans la gendarmerie nationale, exalter les sentiments de solidarité professionnelle et assurer la continuité des relations entre le personnel en retraite et en activité,  contribuer à l’amélioration des conditions d’existence (morales et matérielles) et à la qualité de vie de tous les ressortissants de la gendarmerie, apporter son soutien aux veuves et orphelins déshérités et enfin soutenir le prestige de l’institution en prenant une part active aux études et aux actions de nature à sauvegarder ses intérêts et la représenter dans les organismes consultatifs nationaux.

Ses liens Internes : Eviter de rompre ce lien précieux entre actifs et retraités. fêter ensemble sainte Geneviève, « patronne » des gendarmes, recueillir quelques euros destinés au Noël des enfants. Par ailleurs, des actions sociales de contact ou humanitaires sont menées, comme prévu par les statuts de l’association, vers nos camarades ou veuves hospitalisés ou malades. Vingt-cinq colis en moyenne sont remis à l’occasion des fêtes de fin d’année. Enfin, les dossiers de pension de réversion sont établis par nos soins en liaison avec l’assistante de service social gendarmerie au profit des veuves suite à la disparition de camarades.