RAPPORT COMMISSION SOCIALE – septembre 2020

 

Au cours du conseil d’administration national réuni à Nogent sur Marne le 22 septembre 2020, le Président national a proposé la montée en puissance de l’action sociale de l’U.N.P.R.G.

Pour faire suite à la note citée en référence, le Président de la commission sociale a été mandaté pour créer une commission d’étude en consultation avec l’ensemble des Présidents départementaux et les membres du Conseil d’Administration National afin de suggérer des idées nouvelles d’actions sociales pour aider et soutenir nos adhérents retraités, veuves et personnels d’active. Des actions de communication sociales peuvent être aussi proposées malgré les secours déjà réalisés (7 en 2020) ou en ce qui concerne le recrutement.

Une date butoir fixée au 15 janvier 2021 a été arrêtée et a permis à tous les Présidents d’union départementale de s’exprimer et détailler leurs suggestions. Peut-être en manque d’idées, les réponses de 17 Présidents sont parvenues au Président de la Commission Sociale sur un total de 102.

A la lecture des réponses faites par l’ensemble des personnes concernées l’action sociale au sein de l’association se résume à des aides financières en priorité.

Deux grands traits à retenir :

Le premier – aides de qui ? = le siège, les U.D, des dons associatifs

Le deuxième – à qui bénéficie les aides ?

Citons les propositions émises par ordre et développé par chacun.

La majorité voit une aide à la dépendance en EHPAD ou en USLD d’un retraité, de son épouse ou d’un enfant majeur handicapé à charge. Aide financière pour soulager l’adhérent ou son épouse atteint d’une maladie incurable et dégradante pour le suivi des soins en milieu hospitalier où à domicile sans oublier de soulager l’aidant. A ce sujet m’a été proposé avec les dividendes annoncés au siège la création d’une cagnotte réservée aux aidants.

–  Fructifier c’est bien mais distribuer c’est bien aussi.

Autre proposition. Concernant les orphelins, l’actualité vient de nous le rappeler malheureusement ; un versement effectué par le national d’un montant de 100 € annuel jusqu’à la majorité de l’intéressé.

Dans le même état d’esprit, quelques propositions en vrac :

  • Une aide personnalisée aux personnels d’active, pas de montant proposé. Mais qu’en est-il de la situation des sympathisants ?
  • Une aide immédiate de 200 € suite au décès du conjoint versée par le siège.
  • Création d’un relais social (membre du C.A.) Au sein de chaque U.D.
  • Aide vers l’active à la famille en cas de décès ou blessures entrainant une réforme, montant non proposé.
  • Distribution d’un colis de fin d’année aux veuves âgées de 85 ans et plus (8 € par veuve).
  • Refondre la note d’attribution des secours et prêts sociaux du mémento des Présidents ;
  • Demander à la Fondation « Maison de la Gendarmerie » une participation ; à UNEO mais aussi à TEGO (concurrent de UNEO)
  • Vérifier au niveau départemental que nos adhérents issus de la Gendarmerie soient adhérents à la C.N.G. (après vérification de certains Présidents il ressort que la plupart ne savent pas que leur cotisation est prélevée avec celle d’UNEO) A l’inverse de nombreux adhérents à la CNG ne cotisent pas à l’UNPRG.
  • Prise en charge des frais des administrateurs départementaux qui se déplacent à la rencontre des adhérents.
  • Établir un suivi de nos centenaires au niveau de chaque département afin de leur verser à la date anniversaire un package de 120 à 150 € comprenant bouquet de fleurs, pot de l’amitié etc. et pris en charge par le siège.

A qui bénéficie les aides ?

  • Niveau de revenu ?
  • Critères d’un adhérent en difficulté ?
  • Uniquement ceux atteints d’une maladie incurable ?

Toutes les propositions émises par les Présidents départementaux que ce soit sur le plan de la solidarité (fonds de solidarité) et de secours (dépendance) ont fait leurs preuves en matière d’aides auprès de nos adhérents en difficulté. Rappelons au passage que nos adhérents retraités de l’arme bénéficient de nombreuses aides avec la C.N.G. et U.N.E.O.

Néanmoins quelques propositions sont encore à développer :

  • Possibilité d’intégrer une veuve de l’arme au C.A.N.
  • Mise en place d’une nouvelle carte de retraité.
  • Création d’un vade-mecum de toutes les aides mises à la disposition de nos adhérents selon leurs statuts
  • Rediffuser des agendas au niveau national (participation des UD)
  • Choix de circuler en 1 ère classe pour les Présidents et Administrateurs convoqués au Siège.
  • Rencontre inter régionale semestrielle pour les Présidents d’UD. (Réalisation en cours)
  • Installer une fenêtre sur le site internet de l’association concernant le classement en intérêt général.
  • Diminution de l’indemnité des dirigeants du bureau national.
  • Création d’une maison de retraite Gendarmerie avec le partenariat de la Maison de la Gendarmerie.
  • Eviter que les fonds détenus dans l’association soient trop élevés. (Arrêt du prélèvement 0,50 cts)
  • Recruter oui mais comment ? Les Groupements de G.D. ne possédant que les adresses des retraités quittant l’arme mais qu’en est-il de ceux qui arrivent de l’extérieur. Proposition à régler avec la DGGN pour intervenir sans outre passer les directives de la CNIL.
  • Action culturelle au niveau départemental, régional et national sur la réalisation d’une œuvre (sculpture, peinture, architecture, livre, collection, recherche historique avec un jury national. Récompense pour le meilleur 700 € (à charge national) 300 € (départemental).
  • Demander à L.V.D.G. d’obtenir des réductions sur les voyages touristiques (sous forme de convention) et une diffusion publicitaire dans la revue.
  • Réserver des places dans des structures déjà construites (EHPA – EHPAD) moins couteux qu’une construction de maison des retraités.
  • Mise en place de chèques vacances auprès de l’Agence Nationale pour les chèques vacances (ANCV) réservés aux adhérents cotisants. L’association reconnue d’Intérêt Général y a droit. (Financement national et UD).

Beaucoup d’actions se font déjà dans de nombreuses U.D. Il serait intéressant de les faire partager au niveau national, d’autant plus que le financement ne sera pas forcément très important. Une majorité de Présidents approuvent un nouveau développement de l’action sociale au sein de l’association et l’ouverture d’une seule ligne budgétaire serait la bienvenue.

Il est aussi reconnu que les mêmes mènent déjà une action générale à leur niveau. Certains préconisent de renforcer et pérenniser ce qui se fera mais souhaitent impérativement une harmonisation des aides. En conclusion structurer une action sociale avec une rentrée d’argent par des aides extérieures ; l’aspect financier restant le plus important dans une telle étude.

Le président de la commission

Marc MONTIGAUD


Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Catégories